Escroquerie : Vahimeri Desgeorges a surement escroqué des dizaines voire des centaines de touristes en Indonésie, que ce soit à Java, Bali ou Lombok, pour des centaines de milliers d’euros (ce n’est pas une blague). Sur la base des témoignages de victimes de cette Vahimeri alias Luna, voici quelques mises en garde afin de faire la lumière sur son mode opératoire et le récit de la vie qu’elle présente aux personnes qu’elle escroque depuis plusieurs années.
NOTE : lisez les commentaires en bas d’articles, ils apportent beaucoup de nouvelles informations.
C’est sur le blog Rentrera-t-elle au bout de deux ans que j’ai eu vent de cette escroc. De fil en aiguilles, plusieurs témoignages sont venus à moi et j’ai senti beaucoup d’attentes quant à l’arrêt par tous moyens des escroqueries de Vahimeri Desgeorges alias Luna en Indonésie. Je publie donc cet article aujourd’hui afin d’avertir les prochains voyageurs en Indonésie, ceux sur place et peut-être pour mettre en relation les victimes de cette femme.
L’histoire commence par une rencontre, une rencontre sur internet (un forum par exemple, là où beaucoup de touristes vont en confiance chercher des infos afin d’organiser leur voyage, trouver des compagnons de voyages ou bien trouver des guides ou encore des conseils sur la vie local) ou bien réelle (dans un café, sur une plage, au coin d’une rue) avec une femme sur place, sympathique et ouverte. Un peu surpris par son enthousiasme et sa disponibilité au départ, on en conclut rapidement que le voyage commence dès à présent et que tout s’annonce sous les meilleurs auspices. Une certaine amitié se développe et dès votre arrivée sur l’île, Vahimeri alias Luna apparaît. Elle réussit assez vite à faire partie de votre quotidien, elle créé ou partage des souvenirs exceptionnels avec vous et voilà que les problèmes commencent…
Le mode opératoire de Vahimeri Desgeorges alias Luna
Joëlle a une soixantaine d’années. Elle a rencontré Vahimeri sur Voyages Forum alors qu’elle cherchait des contacts sur Bali pour prendre un verre, boire un café ou partager une visite sur l’île. Pas mal de monde a répondu à son invitation dont Luna. Deux jours après son arrivée, Joëlle reçoit un coup de téléphone au guesthouse (référencé nul part) dans lequel elle loge à Tegallalang, près d’Ubud, devinez qui c’est… Luna !
Deux jours plus tard, elle passe la chercher dans sa voiture avec chauffeur et l’emmène au nord de l’île, à Permuteran pour quelques jours. Elles louent et partagent un bungalow toutes les deux. Le lendemain matin de leur arrivée, 900€ ont disparu du porte-monnaie de Joëlle qui, bien qu’un peu tête en l’air avec ses affaires, n’a pas quitté son porte-feuille. Luna argue alors que le personnel de son hôtel de Tegallalang l’a certainement volée… Les jours passent et elle passera ses 3 semaines de voyage avec cette Luna qui paye l’hôtel et les repas pendant que Joëlle constate quelque argent disparu de ses affaires…
Joëlle quitte Bali ayant passé un voyage agréable globalement mais un mois et demi après être rentrée, elle découvre une dépense de 3600€ sur son relevé bancaire correspondant à l’achat de billets d’avion entre Denpasar et les Etats-Unis. Elle fait tout de suite le lien avec Luna, cette dernière ayant recopié toutes ses coordonnées de carte bleue quand elle était sur place (les occasions ayant été multiples). Après enquête personnelle, Joëlle découvre que le trajet en première classe Bali-USA a bénéficié à un américain travaillant à Bali, Luna étant aussi connue pour fournir des billets d’avion à bons prix. Avec les codes de CB, Luna achète les billets au nom du bénéficiaire et les revend. Pour se faire payer, Luna utilise un compte de dépôt (pas sûre de l’appellation.. peut-être un mandat cash) c’est-à-dire que l’entreprise de l’américain verse l’argent sur un compte créé juste pour cette transaction et que l’escroc récupère ensuite l’argent en espèces puis ferme le compte. Ni vu, ni connu !
A force de contacts avec d’autres victimes de Vahimeri Desgeorges alias Luna, Joëlle s’est aperçue qu’il s’agissait d’un mode opératoire récurrent. Jeune homme seul à Bali, couples de français, femmes seules de tous âges, groupes d’amis australiens, américains vivant à Bali, expatriés mariés avec enfants à Jakarta… aucune situation ne l’arrête.
Quand on part à Bali, c’est qu’on en a rêvé depuis longtemps, on s’est construit son voyage avec enthousiasme et ouverture. Quand on arrive sur place, on est curieux et joyeux, heureux d’être là et forcément, on lâche un peu prise, on fait davantage confiance et on en devient plus vulnérable. Cela, Vahemeri ou Luna, comme vous voulez, l’a bien compris et toute sa stratégie d’escroc repose sur cet état naturel de nous-mêmes en vacances.
Une histoire bien rôdée : le CV de Vahimeri Desgoerges alias Luna
- Vahimeri Desgeorges alias Luna est une femme de 38 ans environ qui parle parfaitement français (comme vous et moi)
- Elle se prétend tahitienne et originaire de Polynésie française mais en vérité, tous les indices portent à croire qu’elle est indonésienne (elle parle couramment Bahasa et n’opère qu’en Indonésie). Une victime affirme affirme qu’elle a vécu à Nouméa car elle connait trop de détails sur ce lieu (détails qu’on ne trouve pas sur internet) pour ne pas y avoir vécu un certain moment. En ce sens, il faut aussi savoir que beaucoup de calédoniens ont des origines javanaises. Cette personne pense qu’elle est française, d’origine javanaise. Et calédonienne.
- Elle se dit ingénieure en bâtiment de formation touchant un très bon salaire (elle parle de 35000€ par mois). Elle se déplaçait avec une carte de fonctionnaire mais, après vérification,
- Son père serait avocat au Barreau de Nice ou Nouméa
- Elle est soi-disant fan de surf bien que personne ne l’ait jamais vu se baigner
Ces détails de son identité et de sa vie, elle les raconte à tous les gens qu’elle rencontre, chaque victime pourra vous le raconter.
Du côté des victimes, ce que l’on sait ou soupçonne :
- elle aurait soit un pied-à-terre à Lombok soit un « contact long-terme » sur l’île sasak
- elle est très à l’aise avec les outils informatiques (et n’hésite pas à fouiller dans les ordinateurs de ses victimes)
- c’est une fille brillante (et jolie, ce qui n’enlève rien)
- Il paraîtrait qu’elle soit en Europe actuellement… (au 1er septembre 2013).
Cette femme ment comme elle respire (avec une aisance et un naturel qui force l’admiration – évidemment me direz-vous) : elle vous dira par exemple que sa crème solaire coûte une fortune et vous verrez le lendemain au K Circle qu’elle ne coûte que 30 000 IDR soit 2,5€. Bien plus grave, pour garder un expatrié à Jakarta dans ses filets, elle a successivement inventé une maladie du coeur, mis en scène une attaque quasiment et ingurgitant de la « morphine » suivi d’une comédie de plusieurs heures feintant l’agonie (et bien sûr sans scrupule pour l’émotion qu’elle pouvait déclencher chez l’autre), fait croire à une opération à haut risque à Singapour en soudoyant un vrai médecin pour qu’il raconte au jour le jour par email les détails de son état à la victime… Enfin, Vahimeri aussi prétendu être enceinte, et de jumeaux en plus ! Parce que c’est bien connu, plus c’est gros…
Démarches à faire :
La police indonésienne pense que Vahimeri est indonésienne et non française comme elle le prétend.
- Si jamais Vahimeri est indonésienne, les recours sont un peu complexes pour les touristes car il faut réunir suffisamment de preuves contre elle, chacun déposer une plainte, engager un avocat, convaincre les indonésiens l’ayant côtoyée de témoigner (son chauffeur, les moniteurs de plongée ayant vu ses agissements – comme fouiller dans les sacs des personnes qu’elle accompagne alors que tout le monde est sous l’eau – les gérants d’hôtels où elle opère ou spa où elle amène ses « amies » vulnérables) et se faire entendre de la police, police qui, on le sait, tend généralement l’oreille au plus offrant, la corruption étant assez présente en Indonésie.
- Si Vahimeri est effectivement française, il faut alors porter plainte en France et laisser la Justice décider de son extradition pour être jugée. Pour l’instant, nous n’avons aucune info sur son véritable nom et je n’ai pas réussi à savoir si quelqu’un avait vérifié son existence dans « l’informatique français ».
Photos et différents profils web de Vahimeri Desgeorges alias Luna
Elle donne aussi ces mails de contacts même si elle doit en avoir des dizaines : desgeorges8vahimeri@live.fr ou encore vahimeri8desgeorges@live.fr
Appel à diffusion
Si vous avez d’autres détails sur elle, des photos ou bien quelque chose à ajouter, n’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous. Je vous invite à diffuser largement cette info sur les forums, blogs, réseaux sociaux afin de prévenir un maximum de monde.
Pour conclure, j’aimerais vous dire que cette femme est une mauvaise rencontre, ni plus ni moins, et qu’elle ne représente aucunement la mentalité des indonésiens. Il est tout à fait possible de rencontrer une indonésienne sympa sur un forum et de passer un bon moment avec elle pendant votre séjour en Indonésie. Cette Vahimeri Desgoerges est une exception, redoutable certes, et doit le rester mais comme on dit « mieux vaut prévenir que guérir » ! Et en parlant de guérir, si vous ne récupérerez pas le liquide volé sur place, sachez que votre assurance bancaire vous remboursera toutefois le montant de la fraude à la carte bancaire.
Dans la grande majorité des cas, votre séjour se passera très bien et vous reviendrez avec de très beaux souvenirs de Bali et d’Indonésie – dans tous les cas, je vous le souhaite ! Soyez simplement vigilant sans être parano, protégez bien votre argent et CB (contre leur perte ou vol) et faites confiance à votre intuition si le comportement d’un individu vous paraît suspect.
Il faudrait que les francais portent plainte a l ambassade en indonesie puis ils pourront faire suivre le dossier a la police indonesienne.
Faire suivre a la gazette de Bali
La police indonesienne est bien trop corrompue…
j’ai connu cette fille au collège mariotti à Nouméa et elle s’appelle Nona Suprijatine, et déjà c’était une sacré menteuse… Elle a même causé la raison d’un suicide de son petit ami
L’arnaqueuse en cavale renvoyée au Camp-Est
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Publié le vendredi 06 juin 2003 à 21H00
Connue pour avoir détroussé de vieux Javanais, grugé nombre d’hôteliers calédoniens et mené la dolce vita avec la carte bleue d’un amant mort, Nona Nussy vient de retrouver le Camp-Est après de longs mois de cavale.
La voiture avec chauffeur, grands hôtels, les amants éperdus, les petites et les grandes escroqueries, les mois de cavale, la police aux trousses… Malgré ses 25 ans, Nona Nussy Binti a déjà tout connu. Y compris les cellules du Camp-Est qu’elle vient de retrouver. Cette jeune aventurière a été arrêtée en début de semaine par la police aux frontières chez son dernier amant en date, à Koutio.Elle a été conduite immédiatement au Camp Est. Cette belle jeune fille aux grands yeux noirs, qui vit en Calédonie mais a toujours la nationalité indonésienne, était sous le coup d’un mandat d’arrêt prononcé en début d’année à la suite d’une condamnation à deux ans de prison prononcée en août 2002 pour escroquerie. Comme souvent, elle n’était pas dans la salle d’audience lors de son jugement, mais en cavale dans quelque recoin touristique de Calédonie.Belle vénéneuse La belle Nona a 22 ans quand elle défraye une première fois la chronique judiciaire en Calédonie. Fraîchement arrivée sur le territoire, elle embobine ses compatriotes, âgés de préférence, et se fait remettre de coquettes sommes en promettant des placements mirobolants aux vieux Javanais dont elle parle la langue. Au passage, elle et son mari (de nationalité française) laissent plusieurs belles ardoises dans les hôtels et les bons restaurants calédoniens. La technique du couple est simple : dès qu’un hôtelier leur présente une facture, ils font mine d’aller faire un tour, laissent quelques affaires dans leur chambre pour endormir la vigilance du patron, et disparaissent. Arrêtée par les gendarmes de Pont-des-Français en mars 2000, elle comparaît une première fois devant le tribunal avec son compagnon et complice, Christophe Gras. Larmoyante, elle obtient un délai pour préparer sa défense… et prend la poudre d’escampette. En mai 2000, le tribunal la condamne à un an de prison ferme. Mais la belle est en cavale.Jeune amant suicidé La suite est beaucoup plus vénéneuse. Nona renoue une idylle avec un jeune homme lourdement handicapé à la suite d’un accident. Début juillet 2000, son amant met fin à ses jours. En plein deuil, au milieu d’une famille hébétée par la douleur, Nona disparaît en emportant la carte bleue du mort, dont elle s’était fait souffler le numéro de code. Elle retourne avec son autre amant et, pendant dix jours, le couple va mener la grande vie aux frais du disparu et de sa famille. Syndrome Nikita Location de voiture avec chauffeur, achat de parfums, de vêtements, bons restaurants et petits déjeuner au lit dans les chambres d’hôtel… 430 000 F sont débités sur la carte avant que les parents du défunt ne mettent le holà. Le 18 août 2000, la belle Nona est à nouveau devant le tribunal correctionnel. « Je ne vais pas bien. Ça fait des années que je ne vais pas bien. » Son avocat évoque le « syndrome Nikita », rappelle son intelligence exceptionnelle et suggère un traitement médical. « Si vous la mettez au Camp-Est, c’est un bâton de dynamite qui en ressortira». L’arnaqueuse est condamnée à 13 mois de prison. Elle en ressort en 2001 et replonge très vite dans ses travers. Chèques volés ou subtilisés, vol au détriment de personnes vulnérables, falsification de documents administratifs, tromperies diverses et arnaques en tout genre, des hommes prêts à se damner ou se ruiner… L’affaire Nona Nussy revient une nouvelle fois devant la justice en août 2002. Mais une nouvelle fois, la belle Javanaise a filé à l’anglaise. En son absence, elle est tout de même condamnée à deux ans de prison. Sa dernière cavale aura duré jusqu’à ce début de semaine. Mais quelque chose laisse à penser qu’il y en aura d’autres.
Philippe Frédière
Bonjour,
Pour informations…
« Les grands hôtels avec l’argent des autres
Publié le mardi 10 octobre 2006 à 21H00
Cinq condamnations prononcées sous cinq identités différentes. Même la justice semble démunie devant les talents d’escroc de Nona Parman. Est-ce son véritable nom ? Hier, cette jeune femme de 28 ans a été condamnée une sixième fois à cinq ans ferme.La dernière fois que Nona Parman est venue s’expliquer à la barre du tribunal, c’était pour dire : « Je ne vais pas bien, ça fait des années que ça dure, je ne peux rien vous dire d’autre. » Hier, c’était « Je demande de l’aide. Je veux me réinsérer. » Si le discours a radicalement changé, les raisons qui l’amènent à la barre, elles, ne varient pas d’un iota. Nona, 28 ans, est une maniaque de l’escroquerie de haut vol.Sa méthode est diaboliquement simple : la persuasion, les identités multiples et les belles paroles. Et accessoirement aussi, les beaux hôtels. C’est d’ailleurs un responsable du Méridien de Nouméa qui découvre le pot-aux-roses. En septembre 2005, il se rend compte que certains réceptionnistes délivrent de l’argent liquide en grande quantité à une cliente, qui utilise pour cela les numéros de nombreuses cartes bancaires différentes. Si le procédé laisse entrevoir une certaine légèreté de la part des employés, il semble aussi mettre en lumière l’incroyable force de persuasion de l’aigrefin. En agissant de la sorte, elle parvient ainsi à se faire remettre plusieurs centaines de milliers de francs.Elle retenait les numéros de CBMais pour mener grand train, elle dispose également d’une autre technique : les notes d’hôtel ou de restaurant qu’elle oublie de régler. Si Nona a la mémoire qui flanche dans ces moments-là, elle retient en revanche parfaitement bien les numéros d’identification bancaire qui ne sont pas les siens. Ceux qu’elle aperçoit par exemple sur le comptoir d’une agence de voyage, qu’elle fréquente régulièrement. Les vrais titulaires des cartes bancaires, eux, tombent des nues en constatant les paiements de certaines notes d’hôtel. Hier, pourtant, elle a réfuté complètement ces accusations. « Ces numéros de carte m’ont été communiqués par ma sœur, qui réside en Indonésie, explique-t-elle. Elle m’aidait à régler mes problèmes financiers. » Au cours de l’enquête, le juge d’instruction contacte donc la sœur en question pour lui demander confirmation. Réponse ferme et définitive de l’intéressée : « Non, je n’ai jamais communiqué de tels numéros. » L’esprit de famille, c’est aussi ce qui caractérise Nona. Car parmi ses victimes, on retrouve un ex-concubin, retourné en métropole après une brève liaison. Si Nona a rompu, elle n’a pas oublié le numéro de carte de son ex. Pourtant, elle nie encore. « Je n’ai jamais utilisé de numéros de carte à l’insu de leurs propriétaires. Je ne prendrais pas le risque de vous mentir, là, maintenant. Tout ce que je veux, je vous le répète, c’est m’en sortir », affirme-t-elle aux juges. Une note de 2,6 millionsAu total, l’ampleur des paiements effectués avec l’argent des autres ou les oublis de notes d’hôtel s’élèvent à plus de 2,6 millions de francs. Et, à l’heure du bilan, le tableau n’est pas fameux. Une première condamnation en 2000, pour filouterie de chambre d’hôtel. Un casier judiciaire sur lequel s’ajoutent ensuite quatre lignes, avec des mots comme « escroquerie », « recel » ou « séjour irrégulier ».Hier, Nona Parman est retournée au Camp-Est. C’est d’ailleurs entre les murs de la prison qu’il y a dix mois de cela, elle a accouché de son troisième enfant, pendant sa détention provisoire. « C’est ce qui m’a fait réfléchir », a-t-elle tenté d’expliquer aux juges. Mais l’argument ne pesait pas bien lourd au regard de ses cinq condamnations précédentes, dont certaines prononcées sous d’autres identités. Bilan des courses : cinq ans ferme.
article de Pierrick Chatel
commentaires de l’article:
02/05/2011 à 20h40
je possède aussi des photos pouvez vous m en envoyer pour comparaison merci
28/01/2011 à 14h54
Bonjour Jean Luc,
Nous avons, avec ma femme, croisé la route de Nona Parman a Bali cette semaine a l hotel Bali Reef. Pourriez-vous me laisser vos coordonnées téléphoniques, j’ai une photo. Merci
26/09/2010 à 18h23
Bonjour,
Auriez vous une photo de cette personne? Il se trouve que nous venons d embaucher une personne portant le meme nom mentionner sur l article ci dessus dans notre societe de video production a Bali.
Je vous remercie par avance
»
AVEZ VOUS DES SUITES CONCERNANT CETTE AFFAIRE??
merci d’en faire part je suis très intéressé ayant moi même était victime.
Jenni dsl si je n’ai pas répondu il y a maintenant 1 an passé, je rentre juste de voyage et j’avais besoin de penser à autre chose puis le temps à filé. Aujourd’hui on a son nom, je suis simplement curieux de voir comment va se dérouler la suite…
Au plaisir,
Nona PARMAN de son vrai nom, calédonienne d’origine indonésienne
Merci Ana! Comment la connais tu ?
Bonjour,
Pour ma part il n’y à pas de doute, cette femme s’appel NONA et vivais en Nouvelle Calédonie, elle à escroquée un de mes cousins et cela à fini de la façon la plus tragique, pire je l’ai fréquenter toute mon addolaissance et quand on c’est rendu compte de ce qu’elle était, cela à été un choc.
En nouvelle Caledonie elle à voler grand nombre de CB, vivais dans des hôtel de luxe, vendais des assurances à des vieux indonésien…. L’avocat en question, n’est pas son père mais son homme, qui l’avait défendu au tribunal de Nouméa il y a pas loin de 10ans. Ce que je ne comprend pas sur ce post c’est que vous avez un doute sur l’identité mais sans l’ombre d’un doute, elle à séjourné au camps est (PRISON nouvelle Calédonie) A FUIR….
Nona Nussy , alias Luna , alias Vahimeri ? Si c’est la même , elle a un sacré pedigree !!