Je rentrais à Amed quand j’ai vu Sableng et ses potes sur le bord de la route, à Culik, occupés à fabriquer quelque chose… Ils étaient joyeux, se chamaillaient et restaient néanmoins concentrés. En fait, ils construisaient l’un des monstres de leur village pour la prochaine cérémonie de Ogoh-ogoh. Ca m’a impressionné, nous sommes tellement assistés dans nos vies parisiennes que je n’ai même pas imaginé, avant ça, qu’ils puissent faire leurs propres monstres eux-mêmes… à Bali tout est home-made. Bravo les gars !
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