Ce blog est une belle aventure où je peux partager ma tendresse pour Bali et cet autre chez moi. Malgré mon retour en France, je continue tant que possible à publier quelques articles, partager de belles photos et surtout à inviter d’autres voyageurs à raconter leur Balitrip avec leurs mots, leurs émotions, leurs plus beaux souvenirs.
Balisolo m’a permis d’échanger des conseils avec de nombreux internautes mais aussi de recevoir de belles attentions comme celle-ci qui m’a particulièrement touchée. Je la partage donc avec vous et remercie chaleureusement Michel Gabriel !
BaliSolo est un lotus en fleur qui glisse sur les ondes du web… et sans vous connaître, du bord de nos rives l’on vous salue de la main, jetant nos com’ et nos “I Like” en flopées de cyber-pétales…
En filigrane de vos créations, reportages, photographies, de vos communiqués de presse à la plus succincte de vos lignes, l’on voit distinctement, l’on entend clair, l’on ressent sensiblement… l’élégance de vos intentions et la puissance aimable des volontés qui vous portent et transportent qui en manquerait.
Je m’autorise la tonalité de l’éloge contemplatif (sourire…fatalement béat…), pour simplement transgresser les conventions de la “recommandation écrite” par trop asphyxiantes et muettes. Parler autrement de votre BaliSolo serait seulement ballot…(même s’il faut parfois s’en coltiner pour voyager léger…). La magie des êtres vous semble si familière et vous la racontez avec une telle évidence que même le plus matérialiste des traders s’arrête de trader pour écouter ému le chant des fées…
Mademoiselle, votre oeil est le très loyal serviteur de votre vision ; vos mots les fidèles porte-parole de votre pensée ; vous semblez vivre votre travail comme vous devez certainement travailler à votre vie ; tout cela vous honore et n’appelle pas d’autre recommandation extérieure : il suffit de vous regarder pour le voir, de vous écouter pour l’entendre, de vous prêter attention pour constater que vous donnez les vôtres…toujours.
Respectueusement,
Michel Gabriel B.
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